Testez gratuitement et intégralement la première question du cas clinique de la semaine !
Au terme de ce cas clinique, vous aurez validé votre DPC et revu :
✅ Quand et comment demander l'intervention d'une ESAD ?
✅ Quand et comment mettre en place un mandat de protection future ?
✅ A quoi et à qui sert l'APA ?
✅ UHR, PASA et EHPAD : quelles sont les différences ?
Tout pour gérer au quotidien simplement, rapidement et en mode Evidence Based Medicine (EBM) 😉
Au cabinet de médecine générale, vous recevez L., 75 ans, que vous suivez pour troubles neurocognitifs légers, avec antécédent d’AVC ischémique sans séquelles motrices. Il a un certificat d’études primaires obtenu à l’âge de 16 ans. Il vit seul dans une maison à étage.
Il a 3 enfants qui vivent à plusieurs centaines de kilomètres...
Le bilan biologique standard était normal et l’IRM trouvait une involution cérébrale prédominant très largement dans les régions hippocampiques avec un index d’atrophie à 66, et une leucopathie dite "discrète".
Désireux d’étayer davantage le diagnostic, le patient a été reçu en bilan neuropsychologique et le centre mémoire a conclu à un diagnostic de probable maladie d’Alzheimer.
Vous proposez une stimulation cognitive par une équipe de soins Alzheimer à domicile (ESAD).
A propos de la stimulation cognitive par ESAD, quelles sont les bonnes réponses ?