Testez gratuitement et intégralement la première question du cas clinique de la semaine !
Au terme de ce cas clinique, vous aurez validé votre DPC et revu :
Comment évaluer la iatrogénie au quotidien dans nos traitements ?
Comment mesurer la surcharge anticholinergique ?
Comment ré évaluer une ordonnance type ?
A la fin du cas clinique corrigé, vous recevrez :
Une fiche de synthèse sur la surcharge anticholinergique et ses conséquences en MG en balayant tous les points à connaître en MG.
👉 tout pour gérer au quotidien simplement, rapidement et en mode Evidence Based Medicine (EBM) 😉
Médecin généraliste, vous voyez pour la première fois en urgence M. P. 83 ans.
Son précédent médecin traitant, désormais retraité, lui a laissé cette liste d’antécédents : Ulcère gastrique en 2019 - Agressivité sur troubles cognitifs - - Maladie de Parkinson Arthrodèse de cheville gauche - Hémiprothèse de genou bilatérale - Fibrillation auriculaire - Incontinence urinaire - Hypertension artérielle et Migraine !
Il est traité par :
Rispéridone 1 mg matin et soir
Amiodarone 200 mg 1 par jour
Lercanidipine 10 mg le matin
Apixaban 2,5 mg 2 fois par jour
Rivastigmine 9,5 mg/24h le soir
Oméprazole 10 mg
Levodopa+benzerazide (MODOPAR) 62,5 3 fois par jour
Solifénacine 10 mg le soir (incontinence urinaire)
Flunarizine (SIBELIUM) 10 mg le soir (migraine)
Hydroxyzine (ATARAX) au coucher
Sa compagne est inquiète et se plaint surtout d’une agressivité croissante ces derniers jours le matin. Il est très gêné par son syndrome parkinsonien (rigidité, tremblements essentiellement), et il a de discrets œdèmes des membres inférieurs qui le gênent pour le chaussage. Sa pression artérielle est à 132/83 mmHg.
Quels sont les médicaments à risque de syndrome parkinsonien dans cette liste ?