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Les personnes radicalement opposées à la vaccination sont généralement campées sur leur position et quasiment impossibles à convaincre. Il est donc, en général ,peu utile de consacrer du temps et de l'énergie à tenter de les faire changer d’avis.
Il est toutefois important de leur rappeler que certains vaccins sont obligatoires pour que les enfants puissent être admis en collectivité.
Les déterminants de la prise de décision d’un malade comprennent :
L’aluminium est le 1er adjuvant dans l’histoire de la vaccination. La dose injectée dans une vaccination est < 0,6mg et la dose quotidienne administrable en IV sans toxicité est de 2mg.
Il n’existe aucune étude démontrant un risque entre SEP et vaccination. En 2001, 700 cas de SEP ont été signalés aux autorités de santé et ce chiffre correspond à la distribution naturelle de la maladie : aucune augmentation n’est mise en évidence depuis. Aucun lien de cause à effet n’existe entre hépatite B et SEP.
Dans la majorité des cas, les parents ne sont pas des opposants radicaux à la vaccination. Ils se posent des questions sur l’intérêt de la vaccination, qu’ils sous-estiment, et les risques qu’elle fait courir, qu’ils surestiment.
Il est donc nécessaire de rassurer les patients et de leur expliquer les tenants et aboutissants de la vaccination. Il n’existe pas de méthode à toute épreuve, et il est nécessaire d’adapter son discours à la situation et aux questions des patients et/ou des parents, mais certaines attitudes peuvent être adoptées dans la majorité des cas.
Ces différents points peuvent être synthétisés dans l’approche CASE, acronyme des termes anglais pour Corroborer, Á propos de moi, Science, Expliquer/conseiller. (le texte anglais original - PDF 3,4Mo )
Il s’agit d’une des nombreuses approches possibles, d’autres sources d’information ou de conseils sont disponibles, comme :